Les concepts et la responsabilité du philosophe
Quand on demande son concept de la justice à une personne rationelle, nous nous attendons rationellement à une réponse correspondant à la somme de divers facteurs qui correspondront aux valeurs de protection intrinséques et propres à l'instinct d'autopréservation de celui qui répond.
Valeurs de portection intrinséques et propres à l'instinct d'autopréservation ?! Oui, c'est exactement ce qui sera entendu par l'interlocuteur. N'importe quelle étude d'inspiration scientifique sur l'évolution de l'Homme révèlera sans grand effort logique que la capacité, tout d'abord d'émettre des sons, puis (des millions d'années après) de parler et de développer un language, sont étroitement liées à l'instinct de survie et d'autopréservation de l'être humain. Cet instinct faisant partie de ce qui est transmis de père en fils à travers les générations de façon silencieuse. Et ceci a très peu été exploré par le Droit.
C'est pourquoi je ne peux pas conclure autrement qu'en affirmant que l'ensemble des concepts donnés sont remplis (parfois corrompus) d'éléments non-scientifiques et intrinsèques de ceux qui ont formulés ces concepts, ce qui en retire par là même une quelconque perspective d'application sans restriction à toute une collectivité. Tester cette hypothèse à la lumière de l'histoire, est d'une facilité déconcertante : sous prétexte de défendre leur patrie, les amércains lisent le concept de la justice adapté à la logique d'attquer tout pays dont un des habitant serait un terroriste recherché, peu impotre si pour le trouver il est nécessaire d'envahir un autre pays et de tuer des milliers d'innocents. La justification de l'invasion (et de la justice correspondante) était exactement l'instinct de préservation (de la vie, du capital ou du pouvoir ou de quoi que se soit qui satisfait les nécessités de la vie de celui qui justifie cette nouvelle idée de la justice).
Il est pourtant facile de constater que la conceptualité dans laquelle la philosophie se développe est un vase clos dans lequel nous sommes plongés. De même, nous nous voyons déterminés par le language dans lequel nous vivons.
Ce présupposé, de relativisation des concepts, entre autres, fait partie de ceux que nous devons considérer pour conclure de la responsabilité et de l'honnêteté de la pensée. Une conscience de celui-ci devrait accompagner tout philosophe responsable, mettant les coutumes de language et de pensée qui apparaissent à l'individu dans la communication avec son monde environnant devant le forum de la tradition historique, du quel nous faisons tous parite.
La question de l'exemple donné, loin de conclure la critique sur la conceptualisation, rend claire l'idée de Vico, celui qui apprend à admirer, qu'il soit une nation, ou qu'il soit un savant, voit le mensonge qu'est d'affirmer (conceptualiser) que tout savoir est plus ancien que le monde. La réutilisation de concepts anciens, justifiant les nouveaux, n'est rien de plus que l'emprunt des prémisses d'autrui pour ses propres conclusions, ce qui bien souvent ne se justifie pas historiquement, car les prémisses historique des prémisses utilisées sont impropres au moment du développement de nouveaux concepts, lesquels souvent développés des milliers d'années plus tard. (en droit, la Loi des XII tables ou le code Hamurabi sont utilisés pour justifer les lois actuelles).
Nous pourrions continuer indéfiniment l'analyse des différents aspects "oubliés" de la raison humaine, qui parresseusement se laisse convaincre par des arguments d'arguments qui n'existent plus, menant à des conclusions chaques fois moins réelles, et créant l'illusion pour la science, que nous sommes en train de développer, continuellement et progressivement, une institution sociale déterminée, comme le Droit, par exemple.
Valeurs de portection intrinséques et propres à l'instinct d'autopréservation ?! Oui, c'est exactement ce qui sera entendu par l'interlocuteur. N'importe quelle étude d'inspiration scientifique sur l'évolution de l'Homme révèlera sans grand effort logique que la capacité, tout d'abord d'émettre des sons, puis (des millions d'années après) de parler et de développer un language, sont étroitement liées à l'instinct de survie et d'autopréservation de l'être humain. Cet instinct faisant partie de ce qui est transmis de père en fils à travers les générations de façon silencieuse. Et ceci a très peu été exploré par le Droit.
C'est pourquoi je ne peux pas conclure autrement qu'en affirmant que l'ensemble des concepts donnés sont remplis (parfois corrompus) d'éléments non-scientifiques et intrinsèques de ceux qui ont formulés ces concepts, ce qui en retire par là même une quelconque perspective d'application sans restriction à toute une collectivité. Tester cette hypothèse à la lumière de l'histoire, est d'une facilité déconcertante : sous prétexte de défendre leur patrie, les amércains lisent le concept de la justice adapté à la logique d'attquer tout pays dont un des habitant serait un terroriste recherché, peu impotre si pour le trouver il est nécessaire d'envahir un autre pays et de tuer des milliers d'innocents. La justification de l'invasion (et de la justice correspondante) était exactement l'instinct de préservation (de la vie, du capital ou du pouvoir ou de quoi que se soit qui satisfait les nécessités de la vie de celui qui justifie cette nouvelle idée de la justice).
Il est pourtant facile de constater que la conceptualité dans laquelle la philosophie se développe est un vase clos dans lequel nous sommes plongés. De même, nous nous voyons déterminés par le language dans lequel nous vivons.
Ce présupposé, de relativisation des concepts, entre autres, fait partie de ceux que nous devons considérer pour conclure de la responsabilité et de l'honnêteté de la pensée. Une conscience de celui-ci devrait accompagner tout philosophe responsable, mettant les coutumes de language et de pensée qui apparaissent à l'individu dans la communication avec son monde environnant devant le forum de la tradition historique, du quel nous faisons tous parite.
La question de l'exemple donné, loin de conclure la critique sur la conceptualisation, rend claire l'idée de Vico, celui qui apprend à admirer, qu'il soit une nation, ou qu'il soit un savant, voit le mensonge qu'est d'affirmer (conceptualiser) que tout savoir est plus ancien que le monde. La réutilisation de concepts anciens, justifiant les nouveaux, n'est rien de plus que l'emprunt des prémisses d'autrui pour ses propres conclusions, ce qui bien souvent ne se justifie pas historiquement, car les prémisses historique des prémisses utilisées sont impropres au moment du développement de nouveaux concepts, lesquels souvent développés des milliers d'années plus tard. (en droit, la Loi des XII tables ou le code Hamurabi sont utilisés pour justifer les lois actuelles).
Nous pourrions continuer indéfiniment l'analyse des différents aspects "oubliés" de la raison humaine, qui parresseusement se laisse convaincre par des arguments d'arguments qui n'existent plus, menant à des conclusions chaques fois moins réelles, et créant l'illusion pour la science, que nous sommes en train de développer, continuellement et progressivement, une institution sociale déterminée, comme le Droit, par exemple.
.
Jean Pablo Coudrete, student at Toulouse University and a good friend, helped me with the French version.
0 Comments:
Postar um comentário
<< Home